Erreurs fréquentes et bonnes pratiques des franchiseurs

Avec Axe Réseaux, découvrez 10 bonnes pratiques immanquables et 10 erreurs courantes pouvant compromettre sérieusement votre réussite comme franchiseur

Franchiseurs, vous faites de votre mieux pour lancer votre concept et développer votre réseau. Pourtant avec la meilleure volonté du monde et malgré votre engagement sans faille, vous avez des « angles morts ». Vous pouvez passer à côté de pratiques décisives dans votre performance, tout comme vous pouvez risquer de vous engager dans des choix pouvant ralentir voire compromettre votre développement futur.

Sur la base de son expérience multisectorielle, Axe Réseaux vous partage 10 bonnes pratiques recommandées aux franchiseurs ainsi que 10 erreurs couramment constatées chez eux. Vous voulez décrocher un 20/20 ? Alors inspirez-vous en !

1/ Les bonnes pratiques du franchiseur aujourd’hui

Les bonnes pratiques des franchiseurs sont légion, sinon il n’y aurait pas 2 000 réseaux dans notre pays ! Parmi celles que j’aime citer :

1/ Se faire accompagner par un conseil dans les différents domaine critiques (structuration, développement…) ;

2/ Savoir externaliser certains postes pour professionnaliser sa tête de réseau, avant d’en réinternaliser la compétence ;

3/ Protéger suffisamment tôt sa propriété intellectuelle (éléments, zones géographiques, classes de services…) et mettre en place un système de surveillance de sa marque sur le périmètre retenu ;

4/ Cadencer son développement à un rythme raisonnable, en accord avec ses moyens d’animation et sans céder aux sirènes de l’opportunisme ;

5/ Assurer une mixité à son réseau en conservant une proportion d’établissements en succursales, pour garder le contrôle et y tester ses innovations en priorité ;

6/ Centraliser les parties sensibles de sa production dans un laboratoire dédié ;

7/ Avoir un process d’innovation continue rôdé, depuis la stimulation et les remontées d’initiatives terrain, jusqu’à la mise à jour du manuel de savoir-faire et des supports de formation ;

8/ Se doter d’instances de dialogue et de partage dans divers formats (groupes de travail, commissions, séminaires et convention nationale) ;

9/ Développer un brand content authentique et sincère, ainsi que des supports de communication (produits, candidats) remarquables ;

10/ S’inscrire dans des démarches de certification (métier, qualité, RSE…).

Vous voulez mettre en oeuvre certains de ces conseils ? Demandez-nous.

2/ Les erreurs à ne pas commettre en lançant son réseau

Les erreurs sont elles aussi fréquentes. Rappelons que franchiser son concept reste une démarche très empirique, faite d’erreurs-essais, d’innovations évidemment et de renoncements parfois. Parmi les écueils que je me dois de citer, dans mon rôle de conseil :

1/ Penser que l’on peut se débrouiller tout seul, bricoler, que le conseil n’est pas un investissement et qu’on s’occupera de certaines choses pourtant critiques « bien assez tôt » ;

2/ Internaliser trop tôt des compétences surtout en CDI et en se trompant sur le profil (trop junior ou au contraire trop calibré pour un réseau encore trop jeune, sans suffisamment de matière) ;

3/ Faire l’impasse sur la propriété intellectuelle, pensant que « cela peut attendre » ;

4/ Se développer dans la précipitation, « à l’aubaine », vouloir encaisser des sous au plus vite au détriment du service, de la qualité et de la consistance du réseau ;

5/ Ne pas fiabiliser la production qui mériterait pourtant de l’être, et laisser s’installer des défauts ou des écarts de qualité entre les différents sites ;

6/ Ne pas se préoccuper d’innovation, dans l’offre produits et/ou dans les services du franchiseur, et ne pas s’organiser pour la traduire opérationnellement dans la documentation réseau ;

7/ Délaisser les questions de dialogue, de partage, la communication interne ou laisser les fondateurs s’éloigner de leur base, notamment leurs franchisés pionniers ;

8/ Ne pas traiter au plus tôt des signaux faibles voire des conflits avérés avec un ou plusieurs franchisés, ou laisser pourrir la situation en pensant que ça s’arrangera tout seul ;

9/ Distiller un marketing agressif, superficiel ou fondé sur le dénigrement de la concurrence ;

10/ Sous-estimer les gages et les réassurances à donner à ses différentes parties en matière de bio, de qualité, de responsabilité, d’éthique…

Vous voulez éviter l’une ou plusieurs de ces erreurs, parce qu’il en est encore temps ? Consultez-nous.

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