2 juillet 2025 eric

La blockchain révolutionne-t-elle le secteur de la franchise ?

SOMMAIRE

Innovation technologique parmi les plus influentes de ce début de XXIe siècle, la blockchain est surtout associée à l’essor des cryptomonnaies, dont le fameux Bitcoin. Mais cette révolution, qui repose sur des principes de transparence, de sécurité et de décentralisation, constitue un bouleversement digital allant au-delà de l’univers financier et adresse de nombreux activités et secteurs tels que le droit, la logistique, la santé ou encore le divertissement.

Dans le monde des franchises, où les interactions entre franchiseurs et franchisés impliquent souvent des flux de données sensibles, des transactions financières récurrentes et une coordination précise, la blockchain peut être une véritable aubaine. Pourtant, les cas d’usage restent encore rares.

Cet article explore comment la blockchain pourrait transformer le secteur de la franchise, en offrant des solutions innovantes aux défis actuels, tout en examinant les implications pratiques, juridiques et environnementales de cette technologie encore assez méconnue des dirigeants de réseaux.

Bonne lecture,

L’équipe Axe Réseaux

Fidèle à sa réputation, Axe Réseaux aide le dirigeant de tout concept prometteur à développer sa franchise.

I/ Les principes fondamentaux de la blockchain et leur intérêt potentiel pour la franchise

1.1/ La décentralisation pour fondement et la transparence pour effet

L’une des caractéristiques clés de la blockchain est sa décentralisation. Contrairement aux bases de données traditionnelles qui sont contrôlées par une autorité centrale, une blockchain est gérée par un réseau de « nœuds » indépendants. Cela garantit que toutes les transactions sont enregistrées de manière transparente et accessible à tous les membres du réseau.

Pour un réseau de franchise, cela signifie qu’il est possible d’établir des registres ouverts où chaque transaction, qu’elle soit financière ou contractuelle, serait visible à la fois pour le franchiseur et le franchisé. Par exemple, un franchisé pourrait avoir un accès direct aux données concernant les royalties ou les droits d’exploitation sans dépendre d’intermédiaires. « Une transparence qui renforce la confiance entre les parties, un élément fondamental dans la relation franchisé-franchiseur », précise Laurent Delafontaine.

Autre aspect de cette transparence, elle pourrait permettre aux franchisés de comparer leurs performances avec celles d’autres points de vente, tout en préservant l’anonymat des données individuelles. « Ce qui stimulerait une saine compétition tout en favorisant le partage des meilleures pratiques au sein du réseau », ajoute-t-il.

1.2/ Une protection renforcée du savoir-faire par la cryptographie

Sur un plan technique, la blockchain s’appuie sur des mécanismes de cryptographie avancée pour sécuriser les transactions. Chaque bloc de données est lié à un précédent via un processus de hachage (hash en anglais), ce qui rend pratiquement impossible la modification d’une information sans que cela ne soit détecté par le réseau entier. C’est le principe dit d’immuabilité.

Appliqué au monde des franchises, cela renforce la protection contre les fraudes et les manipulations. Les données relatives aux performances des franchisés, aux paiements ou aux contrats peuvent être stockées de manière immuable, protégeant alors les deux parties de tout litige potentiel.

Un surcroît de sécurité qui sert également la protection du savoir-faire du franchiseur. Pour notre expert, « des actifs déterminants comme les marques, mais aussi les secrets commerciaux et les processus opérationnels pourraient être enregistrés sur la blockchain, créant ainsi une preuve incontestable de leur origine et de leur propriété ». De quoi offrir des preuves opposables en cas de contentieux !

1.3/ Une automatisation des transactions par les smart contracts

Dans cet environnement digital, les smart contracts (ou contrats intelligents) sont des programmes autonomes qui exécutent automatiquement des actions lorsqu’un ensemble de conditions prédéfinies est rempli. Mis au service des franchises, ils pourraient faciliter la gestion contractuelle en automatisant certaines opérations, ou en activant des clauses spécifiques d’un contrat de franchise ou d’un contrat d’approvisionnement.

De plus, en supprimant la nécessité d’un intermédiaire pour vérifier l’exécution des termes du contrat, franchiseurs et franchisés gagnent en temps et en efficacité, et ils réduisent les coûts associés à l’exécution de leurs obligations contractuelles.

Un smart contract pourrait ainsi automatiquement (i) débloquer des bonus pour un franchisé atteignant ses objectifs de vente, (ii) ajuster des redevances en fonction des performances (sous réserve que le contrat l’ait prévu), (iii) déclencher des alertes en cas de non-respect de certaines normes de qualité (après visite de l’animateur) ou encore (iv) gérer les renouvellements de contrats de franchise.

De quoi non seulement réduire le risque d’erreur humaine, mais également améliorer la performance de gestion du réseau de franchise.

II/ Les avantages financiers et contractuels de la blockchain pour la franchise

2.1/ Réduire les coûts administratifs du réseau

La mise en place d’une blockchain pourrait réduire considérablement les coûts liés à l’administration et à la gestion des franchises. En automatisant de nombreuses transactions (paiements de royalties, renouvellement de contrats, etc.), la blockchain réduirait dans certains cas le besoin d’intermédiaires et de conseils, comme les avocats ou les auditeurs – ou réorienter leur usage à sur d’autres besoins.

Cela permettrait aussi aux franchiseurs de concentrer leurs efforts sur la croissance de leur réseau plutôt que sur la gestion quotidienne des processus contractuels et administratifs. Par exemple, la vérification des rapports de ventes et le calcul des redevances pourraient être entièrement automatisés, réduisant ainsi les erreurs et les délais de traitement.

2.2/ Faciliter le financement des ouvertures par les investisseurs

Certains réseaux peuvent explorer la blockchain comme un moyen de lever des fonds via des ICOs (Initial Coin Offerings), c’est à dire la « tokenisation » de parts de la société franchisée.

En utilisant ces mécanismes basés sur la blockchain, les franchises pourraient attirer des investisseurs en leur offrant une participation transparente et immuable dans leur réseau. « Cela pourrait être particulièrement attractif pour les franchises en expansion cherchant des moyens innovants de lever des fonds tout en renforçant leur crédibilité auprès des investisseurs potentiels », analyse Laurent.

Est-ce que cette approche peut s’étendre au financement ses têtes de réseaux elles-mêmes ?

À l’instar du financement participatif, les mentalités doivent encore évoluer pour cela. « La crainte d’une dilution du capital par tokenisation risque de rebuter les franchiseurs, qui disposent d’alternatives de financement – surtout lorsque leur réseau a fait ses preuves. Mais en ce qui concerne la phase d’amorçage, la question reste légitime », poursuit le consultant.

2.3/ Automatiser certains processes sans sacrifier la confiance 

Grâce aux smart contracts, les franchisés peuvent compter sur une automatisation, par exemple libérer une somme de royalties dès que le franchisé atteint un certain chiffre d’affaires, en toute confiance. Il n’y a pas besoin de vérification supplémentaire, et cela ne peut que renforcer la qualité de la relation franchisé-franchiseur.

Autre usage, la blockchain peut offrir une plus grande transparence dans la répartition des coûts marketing ou publicitaires au sein du réseau. « En enregistrant de manière immuable les contributions de chaque franchisé et l’utilisation des fonds collectifs, elle rendrait plus efficace l’exercice de transparence dévolu au franchiseur, et le débat de ces éléments en commission dédiée », argumente notre expert.

III/ Les défis et limites de l’intégration de la blockchain en franchise

3.1/ Le manque de compréhension et de compétences

Bien que la blockchain soit prometteuse, son adoption nécessite une bonne compréhension de la technologie et de ses implications. Car cela reste un projet très “digital” et de nombreux franchiseurs et franchisés manquent encore de compétences dans ce domaine, et cela pourrait freiner son intégration.

Les franchiseurs devraient investir dans des formations et un accompagnement technique pour que leurs réseaux puissent profiter des avantages de la blockchain. Il sera nécessaire de développer des interfaces utilisateur intuitives et des systèmes “blockchain-as-a-service” pour faciliter l’adoption par les franchisés moins technophiles.

« La limite est que les têtes de réseaux ont déjà de nombreux sujets, sans doute plus prioritaires, à traiter. En revanche, la blockchain pourrait être prise à bras le corps par un groupe succursaliste ou multi-enseignes, qui aurait les moyens de mener une expérimentation sérieuse, comme ce fut le cas de Carrefour », ajoute notre fondateur.

3.2/ L’incertitude pesant sur le cadre légal et réglementaire

Le sujet de la blockchain et des cryptomonnaies étant encore neuf, il manque encore de consensus et sa réglementation autour varie significativement d’un pays à l’autre.

Dans certaines juridictions, l’utilisation des smart contracts ou des tokens peut être sujette à certaines restrictions légales ou fiscales. Il est donc essentiel pour les franchises de bien comprendre le cadre légal avant de s’engager dans une adoption massive de la blockchain et une démarche de tokenisation, y compris dans une logique d’internationalisation.

Ainsi, les enseignes globales seront particulièrement vigilantes et devront adapter leur approche blockchain en fonction des réglementations locales.

3.3/ Les coûts initiaux et infrastructurels

Bien que la blockchain génère des économies à long terme et si son usage se massifie, les coûts initiaux pour mettre en place une infrastructure blockchain peuvent être élevés, en particulier pour les petites franchises.

Cela inclut non seulement l’installation de la technologie elle-même, mais aussi la formation des équipes et l’acquisition des compétences nécessaires pour pérenniser un tel dispositif.

Faute de pouvoir en estimer le ROI dès le départ, il leur est conseillé de procéder graduellement, en commençant par des projets pilotes avant un déploiement à plus grande échelle.

3.4/ Des limites de scalabilité et de performance

Certaines blockchains publiques comme Ethereum font face à des défis de scalabilité. En effet, elles sont structurellement limitées dans le nombre de transactions qu’elles peuvent traiter par seconde. Donc à l’échelle d’une très grande franchise comptant des milliers de points de vente, la performance de son système blockchain pourrait devenir problématique.

Des solutions comme les sidechains ou les blockchains privées pourraient être explorées pour trouver des réponses – au risque néanmoins de compromettre certains des avantages de décentralisation offerts par les blockchains publiques.

3.5/ La forte consommation énergétique

Certaines blockchains, en particulier celles utilisant le mécanisme de consensus “Proof of Work” comme Bitcoin, sont connues pour être énergivores. Une caractéristique qui pourrait être contreproductive au regard des objectifs de durabilité de nombreuses franchises, et qui pourrait rejaillir négativement sur l’image qu’elles s’efforcent d’améliorer par ailleurs.

Heureusement, l’utilisation de blockchains énergétiquement plus efficaces, notamment basées sur des mécanismes comme le “Proof of Stake”, pourrait remédier ce problème.

3.6/ Protection des données et conformité au RGPD

Comme beaucoup d’innovations à caractère digital, l’utilisation de la blockchain dans les franchises soulève des questions importantes en matière de protection des données, en particulier au regard du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) en Europe.

Pour répondre à ces enjeux, les réseaux de franchise peuvent explorer des solutions comme les blockchains privées ou les techniques de cryptographie avancée. Elles permettent de stocker les données sensibles hors chaîne, tout en conservant une preuve cryptographique sur la blockchain.

Les smart contracts peuvent également être conçus pour inclure des fonctionnalités de gestion des consentements et de droit à l’oubli, conformément aux exigences du RGPD.

En synthèse : les spécificités de la blockchain en franchise

Les franchises doivent soigneusement évaluer les avantages et inconvénients repris ci-après, avant de décider d’adopter la technologie blockchain :

Des avantages / bénéfices

Des inconvénients / défis

• Une transparence accrue ;

• Une automatisation plus poussée ;

• Une sécurité renforcée par le principe d’immuabilité ;

• Une traçabilité améliorée.

• Des coûts initiaux plus élevés ;

• Une complexité technique réelle ;

• De potentiels problèmes de scalabilité ;

• Un cadre réglementaire incertain.

IV/ Quelques cas d’usage concrets de la blockchain en franchise

4.1/ Tracer les flux de produits dans la franchise alimentaire

L’un des cas d’utilisation les plus prometteurs concerne la traçabilité des produits, en particulier dans le secteur alimentaire. Par exemple, une chaîne de restauration dont la clientèle est soucieuse de transparence, pourrait utiliser la blockchain pour suivre chaque ingrédient depuis sa source jusqu’à sa livraison dans les restaurants franchisés. « Cela permettrait de garantir la qualité des produits, tout en réduisant le risque de fraudes alimentaires, ce qui est déterminant dans la confiance envers ce type d’enseignes », estime notre consultant.

Toujours au titre de la traçabilité, la blockchain offrirait une meilleure visibilité sur les conditions de production et de transport, ce qui est crucial pour les franchises soumises à des régulations strictes en matière de sécurité alimentaire. Si des produits devaient être rappelés, la technologie permettrait d’identifier rapidement les lots concernés et les points de vente impactés, limitant d’autant le risque sanitaire et les coûts associés.

Carrefour, pionnier de la blockchain alimentaire

Le consommateur désire toujours plus de transparence et d’assurances sur les produits qu’il achète. Nouer des relations de confiance avec lui est nécessaire pour le producteur comme pour le distributeur. La blockchain alimentaire est une réponse à ce besoin du client. Or en scannant le QR code présent sur l’étiquette des produits du distributeur, le consommateur peut accéder via son smartphone à des informations transparentes.

La blockchain n’était pas jusqu’alors utilisée dans l’alimentaire. Carrefour est pionnier sur ce sujet en Europe avec la première application, dès mars 2018, de la technologie blockchain au poulet d’Auvergne Filière Qualité Carrefour (FQC).

Puis en 2019, l’enseigne a progressivement déployé la technologie blockchain à de nouvelles Filières Qualité Carrefour : poulet d’Auvergne, tomate Cauralina, œufs fermiers de Loué, fromage rocamadour AOC, lait frais Gillot, saumon de Norvège et poularde de Noël. L’objectif étant de couvrir assez rapidement avec cette technologie l’ensemble de ses filières qualité (FQC).

4.2/ Vérifier la conformité des normes du concept

Dans les secteurs où la conformité aux normes sanitaires, éthiques ou environnementales s’impose, la blockchain peut être d’une grande aide. Par exemple, dans une franchise de services médicaux ou de restauration rapide, la blockchain pourrait être utilisée pour enregistrer automatiquement les contrôles qualité effectués par les franchisés.

« C’est une bonne nouvelle pour certains entrepreneurs qui hésitent encore à franchiser leur concept, arguant qu’il ne pourrait pas être appliqué avec suffisamment de rigueur par des franchisés potentiels. Cela assurerait aux franchiseurs que le point de vente respecte bien leurs standards, complétant ainsi le travail de l’animateur réseau sur site », analyse Laurent.

Enfin la blockchain pourrait faciliter la certification et l’audit des franchises par des tiers, en fournissant un historique immuable des pratiques et des contrôles effectués – renforçant ainsi la transparence et la crédibilité du réseau.

4.3/ Développer des programmes de fidélité

Pizza Hut a exploré l’utilisation de la blockchain dans ses programmes de fidélité, où les points accumulés par les clients sont enregistrés dans un registre sécurisé et transparent. Cela procure une plus grande flexibilité pour les clients qui peuvent échanger leurs points entre différents points de vente franchisés, tout en simplifiant la gestion du programme pour les franchiseurs.

Pour sa part, Burger King avait émis dès 2018 sa propre monnaie virtuelle en Russie : le Whoppercoin. Pour chaque rouble dépensé dans la chaîne, les clients recevaient un Whoppercoin, et contre 1.700 de ceux-ci, ils ont droit à un hamburger gratuit. Avec la crainte, toutefois, que le Whoppercoin soit utilisé pour des pratiques de blanchiment digital et dans le cadre de demandes de rançon…

4.4/ McDonald’s se fait dérober 700 000 $ en crypto après avoir été piraté !

Dernièrement, l’industrie de la cryptomonnaie a été secouée par une attaque audacieuse impliquant le piratage du compte Instagram officiel de McDonald’s. Des hackers malveillants ont réussi à s’en emparer pour promouvoir une « cryptomonnaie même » appelée Grimace, s’enrichissant ainsi illégalement de plus de 700 000 $. Ils ont utilisé la plate-forme de cryptomonnaie Pump Fun pour s’emparer de 75 % de l’offre totale en circulation du jeton Grimace, puis l’ont distribuée à travers environ 100 portefeuilles différents.

Selon l’analyse des données de la blockchain par la plateforme Bubblemaps, les attaquants ont réalisé un gain illicite d’environ 700 000 $ en Solana (SOL). La valeur du faux jeton GRIMACE est passée de quelques milliers de dollars à 25 millions de dollars en l’espace de 30 minutes, avant de s’effondrer à 650 000 $ lorsque les pirates ont commencé à vendre leurs tokens !

Au-delà de la perte financière, cet incident a porté préjudice à l’image de marque et à la crédibilité de McDonald’s. La maison-mère de Ronald a dû intervenir rapidement pour regagner le contrôle de son compte et rassurer ses clients sur la sécurité de ses réseaux sociaux.

V/ Des perspectives de la blockchain pouvant affecter la franchise

5.1/ Une marge de développement technologique encore forte

À mesure que la technologie blockchain évolue, on peut encore envisager (i) des solutions plus scalables et efficaces énergétiquement, (ii) une intégration plus poussée avec l’Internet des Objets (IoT) et l’intelligence artificielle ainsi que (iii) des interfaces utilisateur plus conviviales pour faciliter son adoption par les franchisés.

5.2/ Une adoption croissante au service du développement

La technologie gagnant en maturité, ses coûts d’adoption devraient baisser. Il est probable qu’un nombre croissant de réseaux de franchise l’expérimenteront pour mettre en oeuvre leur stratégie de développement. Mais pour le moment, l’enjeu reste de multiplier les cas d’usage pour développer un référentiel spécifique aux franchiseurs.

5.3/ Vers de nouveaux modèles de franchise ?

La blockchain pourrait donner naissance à de nouveaux modèles de franchise, plus décentralisés et participatifs. Les frontières entre franchiseurs, franchisés et clients pourraient y être revisitées. Attention cependant à ne pas perdre en clarté à ce sujet, d’autant que les quelques tentatives sur le métavers n’ont finalement pas convaincu. Mais l’histoire n’est pas finie…

5.4/ Un enjeu fort de sobriété énergétique

L’un des principaux défis de l’adoption de la blockchain reste sa consommation énergétique, en particulier pour les blockchains utilisant le mécanisme de consensus “Proof of Work”. Les franchises soucieuses de leur empreinte carbone ne feront donc pas l’économie de certains arbitrages en la matière. Heureusement, les blockchains basées sur le “Proof of Stake” sont plus sobres, et certaines conçues pour être éco-responsables, utilisent même des sources d’énergie renouvelables ou compensant leur empreinte carbone.

Conclusion

Nous espérons que cet article vous aura sensibilisés au potentiel de la blockchain.

Bien qu’encore mystérieuse pour nombre d’entre vous, cette technologie peut vous aider à gagner en efficacité et à développer un avantage concurrentiel durable.