24 novembre 2023 eric

Franchiseurs, vous mettrez-vous au no & low-code ?

SOMMAIRE

Aujourd’hui les entreprises voient des populations « non-codeuses » développer leurs propres applicatifs pour répondre à leurs besoins métier, que ce soit via des plateformes ready-to-use (no-code) ou nécessitant déjà des bases (low-code). Elles y sont poussées par un environnement de plus en plus compétitif et les impératifs de productivité et d’agilité qui en découlent.  

Ces cadres et salariés voient dans le no-code et le low-code une grande liberté : plus besoin d’attendre la validation d’investissements parfois lourds ou de prendre un ticket dans la roadmap déjà chargée de la DSI. 

Franchiseur, ces usages innovants vous concernent très directement, et cet article vous présente : 

  • Des définitions et des outils no-code et low-code ;
  • Des tendances et chiffres-clés du phénomène aujourd’hui ;
  • L’utilité, la valeur ajoutée et des cas d’usage typiques pour les réseaux ;
  • Des recommandations avant de vous lancer. 

Et à titre d’informations, Axe Réseaux a développé pour ses clients une solution de CRM sur AirTable, permettant un suivi unique et particulièrement efficace des candidats et des locaux.  

Bonne lecture, 

L’équipe Axe Réseaux 

Fidèle à sa réputation, Axe Réseaux aide le dirigeant de tout concept prometteur à développer sa franchise.

I/ La définition et les outils du no-code et du low-code 

A/ La définition du no-code et du low-code 

Qu’est-ce que le no-code ? 

Le no-code ou “pas de code” en français, désigne le mode de développement d’un logiciel / application sans avoir besoin de rentrer dans la complexité de son code source. Avec lui, pas besoin de solliciter un développeur et de consacrer des temps et des coûts de développement considérables.  

Le no-code combine plusieurs techniques : 

  • Des modèles graphiques et des widgets pré-packagés pour assembler des interfaces utilisateurs, 
  • Le glisser-déposer de composants applicatifs pour créer une cinématique applicative et combiner les différentes étapes des processus (tunnel de conversion, suivi de commande…), 
  • Un workflow permettant de déclencher des actions, comme la génération d’alertes et de contre-mesures selon des événements prédéfinis (seuil de CA…). 

Loin d’être un buzzword de plus, le no-code provient d’une longue lignée de progrès simplifiant les interfaces homme-machine (IHM), afin d’autonomiser les professionnels dans le développement de solutions qui les aideront au quotidien. 

Qu’est-ce que le low-code ? 

Le low-code ou “peu de code” a quant à lui pour objectif de faciliter aux entreprises comme aux particuliers le développement de sites web, sans posséder de compétences techniques en programmation informatique. L’approche requiert peu de programmation, grâce à un ensemble de blocs graphiques préprogrammés. A ce jour, la plateforme low-code la plus connue en France est sans doute WordPress. 

Quelle est la différence entre le no-code et le low-code ? 

On associe souvent les deux termes en ce que l’un comme l’autre aide à démocratiser le développement de sites et applicatifs web performants. Mais il existe entre eux quelques différences substantielles : 

No-code 

Low-code 

Quoi 

Des outils intuitifs accessibles à tous 

Des outils nécessitant des compétences et une formation IT 

Type d’interface 

Applications prédéfinies et figées 

Plus de flexibilité offerte dans les options 

Pourquoi 

•  Prototypes / MVP 
•  Bureautique étendue (automatisation) 

•  Créer et déployer des applications d’entreprise 

Pour qui 

Citizen developer 

Model developer 

Niveau requis en programmation 

Aucune compétence en codage 

Connaissance minimale requise 

Conception des sites 

Logique de glisser-déposer de blocs préétablis 

Recours nécessaire au codage pour gérer l’architecture de base du site envisagé 

Produits 

Adalo, Airtable, Appsheet, Bettyblocks Bubble, Caspio, Dropsource, Draftbit, Glide, Weebly, Zapier… 

Appian, Mendix, Outsystems, Pega, PowerApps, Salesforce, WordPress… 

Avantages 

•  Accessible 
•  Rapide 

•  Souple 
•  Pérenne 

B/ Quelques outils à connaître en matière de no-code et de low-code  

1. Les applications propriétaires à source fermée 

Notion 

Pour la gestion des tâches et le partage d'outils et de documents au quotidien.  

Bubble 

Pour développer des applications web et mobiles sans avoir à toucher à une ligne de code, grâce à un système de blocs à glisser-déposer. Elle compte de nombreux templates disponibles et des options personnalisables. 

Zapier 

Pour optimiser des flux de travail sans aucune nécessité de codage.  

Glide 

Pour développer des applications mobiles de manière intuitive et facile. Gratuite pour ses fonctionnalités de base, la plateforme permet de développer une application à partir de données stockées dans un Google Sheet ou un document Excel. 

Adalo 

Pour développer des applications mobiles. Avec son système de drag and drop de blocs prédéveloppés, l’outil offre une expérience visuelle optimisée pour le développement d'application sans aucune programmation. 

Webflow 

Pour le développement de sites web et d'applications mobiles. Avec ses multiples modules disponibles, il offre notamment une possibilité de personnalisation plus poussée en comparaison d'autres outils et plateformes no-code.  

2. Les plateformes gratuites 

Wordpress 

Pour créer un site web 

Yoast SEO 

Pour optimiser le référencement de vos articles web 

MailPoet 

Pour programmer ses mailings 

WeGlot 

Pour traduire automatiquement un site web en près de 100 langues. 

II/ Tendances et chiffres-clés du no-code aujourd’hui 

A/ Un contexte d’autonomisation sur fond de pénurie en compétences IT 

Le low-code intéresse les entreprises qui mènent leur transformation digitale et demandent à leurs équipes d’être plus productives et plus autonomes dans la construction d’outils métiers et l’innovation. Un mouvement qui s’est d’ailleurs accéléré depuis la pandémie de Covid-19 

D’autant que la bande passante de leurs DSI est souvent très sollicitée et que cette filière elle-même peine à recruter des talents, notamment les développeurs. Rappelons que seulement 0,5% de la population sait coder et que plus de 500 millions d’applications ont été développées dans le monde entre 2018 et 2023.  

Or selon l’US. Labor statistics, dans le monde, la pénurie de développeurs informatiques pourrait connaître une hausse de 113% en 10 ans à peine, passant alors de 40 millions de développeurs manquants en 2020 à près de 85,2 millions en 2030. En diminuant les besoins de compétences en codage, l’émergence des solutions no-code et low-code viendrait y remédier aux côtés, il est vrai et de plus en plus, des IA génératives. 

B/ Les grands chiffres liés au no-code en France 

Un marché dopé par la promesse d’économies sans précédent sur le développement 

Une prévision d’IDC montre que les revenus mondiaux du LCNCIDT (Low-Code, No-Code, and Intelligent Developer Technologies) atteindront 21,0 milliards de dollars en 2026. Et selon une étude de marché de GlobeNewswire datant de 2020, la valeur du marché de ces plateformes devrait être multiplié par 8 par rapport à 2022, passant alors de 21,6 milliards $ à 187 milliards $ d’ici 2030 ! 

Pour l’heure, les départements informatiques sont déjà dépendants à 63% des outils no-code, soit la plus forte dépendance parmi toutes les divisions d’entreprise en 2022, pour une moyenne tous départements confondus d’au moins 50%. Pour sa part, le Gartner estime que d’ici 2025, 70% des nouvelles applications développées par les entreprises utiliseront des technologies low-code ou no-code, contre moins de 25% en 2020.  

Développer une application “classique” coûterait 100 fois plus cher qu’une application qui intègre du low-code / no-code. Et selon un rapport d’octobre 2022 de AppMySite, pour une entreprise qui dépenserait 300 000 € pour une application “classique” chaque année, le low-code permettrait de réduire ce coût à 5 000 € et le no-code à 1000 €… 

De précieux leviers de productivité  

Selon une étude publiée par Zapier, 90% des usagers d’outils low-code / no-code pensent que leur entreprise n’aurait jamais pu se développer aussi rapidement sans ces outils. En 2021, 37% d’entre eux économisaient entre 10 et 20 heures de travail chaque semaine. Pour sa part Redhat estimait dès 2018 que l’utilisation de solutions no-code / low-code réduirait le temps de développement d’une application jusqu’à 90% par rapport à une application “classique”. 

D’autant que leur appropriation est rapide : selon un rapport de Mendix, en moyenne 70% des usagers d’outils no-code mettent un mois voire moins à les maîtriser, sans expérience préalable. C’est donc sans surprise et selon Zapier que 85% des utilisateurs du no-code envisagent d’utiliser davantage ces technologies au cours de la prochaine année. 

Une industrie qui mobilise fortement les capital-investisseurs 

Selon le Baroscope Alegria Group, 2,7 Milliards de dollars ont été levés par 103 entreprises l’année dernière. Si le montant total est plus faible qu’en 2021 (4,7 Mds sur 93 levées), le nombre d’entreprises no-code ayant levé des fonds a cependant augmenté de 10%. 

Les outils attirant le plus les Ventures Capitalists et autres Business Angels sont les builders (programmation visuelle), les outils d’automatisation, les IA notamment génératives et les solutions servant les jeux vidéos. Parmi les plus grandes levées, on retrouve celles réalisées par Airtable (1 000 M$), Calendly (350 M$), Squarespace (300 M$), Postman (250 M$) et Figma (200 M$). 

Pour plus d’informations, vous pouvez aussi consulter le site de no-code France 

III/ Perspectives et cas d’usage Low & No-code pour les réseaux 

A/ Quelles perspectives de valeur ajoutée le low-code et no-code offrent-ils pour les acteurs de la franchise ? 

Un réseau de franchise est tenu de procurer à ses membres des avantages concurrentiels, pour les rendre plus performants et les fidéliser. Parmi les promesses de l’affiliation on trouve le fait de gagner du temps, de se simplifier la vie, d’accéder plus facilement à des services mutualisés, à une notoriété large et à certaines technologies, ou encore de bénéficier d’un catalogue varié à tarifs compétitifs. 

Or les têtes de réseaux se structurent et s’étoffent selon l’expansion du réseau. Elles doivent redoubler d’ingéniosité pour produire les services contractuels et faire leur job (contrôle de conformité, animation du réseau et assistance à ses partenaires) sans consommer de ressources trop coûteuses, notamment des salariés en CDI.  

Un autre paramètre à prendre en compte est que les franchisés sont des professionnels indépendants et territorialement éparpillés, tenus d’appliquer un concept très processé, en toute autonomie.  

Théoriquement et pour toutes ces raisons, les outils low-code et no-code s’accommodent du modèle en réseau, en ce qu’il est « délégatif ». A condition toutefois d’encadrer un minimum les usages, a fortiori dans le cas de la franchise (Vs les autres formules). 

Concrètement, low-code et no-code adressent deux familles de besoins : 

  • L’automatisation de tâches relativement simples. Les jeunes concepts comme les enseignes reconnues ont besoin de routiniser certaines opérations, mais aussi de gagner en agilité par l’interfaçage de leurs outils avec différents applicatifs ; 
  • La préparation et le prototypage d’applicatifs spécifiques. Un réseau encore peu structuré ou staffé voudra équiper une fonction, nourrir des processus et construire des solutions métier depuis une plateforme open source, par exemple. 

B/ Des exemples de cas d’usage low-code et no-code pour les réseaux 

Nombreux sont les chantiers à proposer des gains de productivité, donc de temps et d’argent. Toutefois et en raison des gains qu’ils procurent, les franchiseurs gagneront à prioriser :   

Recrutement : développer une capacité de dialogue et de partage avec les candidats 

On peut développer un espace permettant aux candidats de suivre leur parcours de recrutement avec les étapes, d’accéder à certains supports présentés (plaquettes, dossiers à remplir, supports présentés en journée découverte, uploader certains documents pour le développeur, suivre l’avancée de versions du contrat…). Un usage qui ajoute une grande transparence et du professionnalisme dans les usages, et favorise la conversion. 

Onboarding : préparer l’intégration des nouveaux venus à la vie du réseau 

Dans la continuité du point précédent, le franchiseur peut faciliter les choses en intégrant le retroplanning d’ouverture de son point de vente. L’applicatif reprend la chronologie des étapes à franchir, des formalités à accomplir, prévoit les relances nécessaires. Il peut aussi faire des rappels quant aux événements internes du réseau auxquels le nouveau venu sera convié, et faire le lien vers de nombreuses ressources internes. 

Manuel opératoire : prévoir des contenus et fonctionnalités destinés à en améliorer l’usage 

Les techniques no-code permettent de constituer puis d’héberger une « bible réseau » personnalisée, en lui donnant les fonctionnalités nécessaires : accès profilés, vues spécifiques, contenus multimédia, informations contextualisées… De quoi lui donner davantage de crédit, améliorer son taux d’adoption et ainsi valoriser le savoir-faire de l’enseigne. 

Formation : donner accès aux modules du cursus initial et continu pour un usage à la carte  

L’enseigne peut développer une application donnant accès à une partie des contenus de la formation initiale (en distanciel, venant compléter les sessions présentielles), mais également de la formation continue. Le franchisé pourra les suivre à son rythme, par exemple sur son smartphone lors de temps morts. L’appli permettra de mesurer la participation et l’assiduité, et donnera de précieuses indications pour rendre les contenus futurs plus attractifs encore. 

Animation réseau : intégrer des formulaires une vérification plus exhaustive 

Enfin, ces outils se prêtent bien au suivi de l’intervention des animateurs dans les points de vente. En créant des formulaires simples et intuitifs, le franchiseur peut connecter ses équipes sur le terrain à son protocole d’animation et aux éléments du concept qui doivent être bien appliqués. 

D’autres processes peuvent également être opérés par des outils low-code et no-code, comme :  

  • La gestion / centralisation des commandes fournisseurs ; 
  • L’orchestration et l’optimisation des campagnes de marketing digital, promotionnelles et commerciales ; 
  • L‘automatisation de la gestion des factures ; 
  • Le pilotage de la performance via des tableaux de bord personnalisés. 

Nous sommes loin du paradigme de l’ERP : au début des années 2000, ces « logiciels tout en un » ne couvraient en réalité que 60% des besoins fonctionnels réels, mais offraient une grande modularité à de vastes organisations. Aujourd’hui, ce sont les solutions low-code et no-code qui assurent cette connexion entre les meilleurs outils, et collent toujours mieux aux seuls usages recherchés. 

Cette souplesse et cette pertinence aux besoins métiers leur permettent de revisiter la chaîne de valeur de l’IT dans les organisations. En plus, ces développements sont très rapides et permettent d’avancer pas à pas, par cycle itératif. Nul besoin de faire des cahiers des charges détaillés et d’attendre plusieurs mois pour voir le résultat ! 

Ils devraient éteindre petit à petit l’intérêt pour les solutions standard, et renforcer considérablement la proposition de valeur des réseaux de franchise envers leurs partenaires. 

C/ Le low-code et le no-code sont-ils réservés aux seuls réseaux confirmés ? 

On pourrait penser que ces approches ont plus de sens dans une organisation mature, un réseau étoffé et réparti sur un large territoire.  

De l’intérêt du low-code et du no-code à grande échelle 

Comme l’avait expliqué Denis Tanneux (consultant en productivité des réseaux), « Bien sûr, le temps à gagner est mathématiquement plus important dans les grands réseaux… Si l’on fait gagner 3h par semaine à chaque membre d’un réseau comptant 200 points de vente – ce qui n’a rien de farfelu – c’est un total de 1300 jours de gagnés pour le collectif ! Vous imaginez ce que pourrait faire un réseau s’il disposait de 1300 jours de plus… ? ». Plus le réseau est étendu, plus la direction a donc intérêt à pousser ces usages et plus elle en tirera de bénéfices à son échelle. 

Pourtant, la pratique intéresse tout autant une jeune pousse. Comme il y a moins de gens à convaincre en interne et une moindre résistance au changement, elles peuvent déployer les meilleures pratiques immédiatement.  

Commandes, facturation, reporting… le champ d’application est infini et les bonnes habitudes peuvent s’imprimer au plus tôt, valorisant le concept naissant auprès des premiers candidats. Chacun sait à quel point ils sont déterminants pour la suite. 

En synthèse, avec le low-code et le no-code, les graines de réseau donneront à des collaborateurs – polyvalents par contrainte – les moyens de développer des applicatifs par simple glisser-déposer. Tandis que les réseaux confirmés, pourront prototyper pour répondre agilement aux diverses demandes de leurs franchisés et clients, ainsi qu’aux mouvements de la concurrence. 

Intéressé.e par l’un de ces cas d’usage ? Parlons-en autour d’un café   

IV/ Franchiseurs, avant de vous lancer dans le no-code & low-code  

Le no-code et le low-code vous interpellent ? Vous pensez pouvoir en tirer des gains de productivité et aimeriez les tester chez vous ? Complexité fonctionnelle, personnalisation, coût, rapidité de mise en œuvre, évolutivité, conformité et sécurité figurent cependant parmi les paramètres à considérer.  

Voici quelques conseils pour guider une mise en œuvre future : 

  1. Cadrez en amont : réservez à la tête de réseau les développements stratégiques et découragez-en la prise en charge par les franchisés eux-mêmes – s’ils avaient des velléités, pour d’évidentes raisons de contrôle et d’homogénéité ; 
  2. Validez l’appétence des équipes concernées : l’appétence digitale des « business people » doit être réelle. Ils doivent par exemple avoir un niveau minimum en navigation, ergonomie et graphisme ; 
  3. Priorisez vos besoins : Identifiez les cas d’usage qui seront suffisamment visibles, qui constitueront un quick win en cas de succès ou a contrario qui ne vous mettront pas en risque en cas d’échec, de non-adoption. Un arbre de décision coconstruit avec les métiers aide aussi à identifier les critères clés d’éligibilité des solutions low-code / no-code ; 
  4. Circonscrivez l’usage : bien définir et limiter le périmètre d’usage de l’application clarifiera les besoins et permettra d’anticiper les moyens et ressources nécessaires ; 
  5. Définissez les rôles : mieux vaut être au clair sur les responsabilités de chacun, concernant par exemple dans le maintien en condition opérationnelle, la sécurité, etc. Des formations pour les citizen developers peuvent aussi être prévues ; 
  6. Documentez les processus : par projet donné, regardez et mesurez le temps passé et la répétition des tâches. Cette phase de diagnostic et de design est essentielle pour mettre à plat les processus à transformer, et bien comprendre les subtilités du franchiseur. Pour chaque tâche, il faut vous demander quels en sont la fréquence, le déclencheur, les risques d’erreur et les impacts ; 
  7. Développez votre MVP (Minimum Viable Product) pour valider vos hypothèses de conception, avant le développement stricto sensu. On automatise en choisissant les meilleurs outils et les intégrations entre eux ; 
  8. Accompagnez vos utilisateurs : une fois la solution recettée, il faut former le public impacté puis communiquer sur les bénéfices (gains de temps, fiabilité, économies) procurés par la solution ; 
  9. Assurez le retour d’expérience : à partir des retours utilisateurs, analysez en quoi le ou les premiers cas vous ont permis de vous faire la main, de maîtriser l’esprit et la logique no-code, d’avoir de premiers réflexes utiles pour un déploiement plus large ensuite ; 
  10. « Institutionnalisez » si nécessaire : un usage no-code suffisamment installé et incontournable pourra ensuite être repris en main et sécurisé par un véritable développement de la DSI. 

Des souhaits de mise en œuvre ? Axe Réseaux est à votre écoute pour vous accompagner ! 

Conclusion

Franchiseurs de tous secteurs, nous espérons que cet article vous aura permis de découvrir les atouts du low-code et du no-code pour booster votre productivité, enrichir votre expérience franchisé et donner le change aux initiatives de vos concurrents.